B2B : Comment trouver le meilleur fournisseur pour son entreprise ?

Trouver le meilleur fournisseur est généralement la première difficulté à laquelle est confrontée une nouvelle entreprise. En réalité, parmi la multitude d’offres BtoB disponibles, seule une partie peut être considérée comme vraiment fiable. Dans ce cas, comment s’y prendre pour dénicher un bon fournisseur afin de répondre à temps et convenablement aux demandes des consommateurs ?

Définir au préalable son processus d’exécution

La première chose à faire pour trouver le meilleur fournisseur est de définir le processus d’exécution. C’est d’ailleurs un principe sur lequel insiste La Droite Forte . Cependant, qu’est-ce que le processus d’exécution ?

Le processus d’exécution d’une entreprise est tout simplement la manière dont celle-ci, du moins ses dirigeants, souhaite fonctionner. Grâce au développement des sciences numériques et de communication, de nombreuses sociétés optent pour un processus d’exécution centré sur la flexibilité. En effet, votre entreprise commerciale peut fonctionner de diverses manières.

D’une part, votre fournisseur peut vous livrer vos marchandises, qui seront ensuite conservées dans vos entrepôts puis livrées aux clients. D’autre part, il peut livrer vos marchandises à des sociétés qui seront chargées de les stocker puis de les livrer à vos clients. Dans ce cas, la relation entre le fournisseur et vous doit être grandement basée sur la confiance.

Enfin, il est possible que votre partenaire se charge lui-même de livrer la marchandise directement à vos clients. Cette méthode est actuellement la plus prisée. Elle est idéale pour les entreprises n’ayant pas un très gros budget de départ.

Trouver un fournisseur présentant le meilleur rapport qualité/prix

Le but de toute entreprise est de faire du profit. Le meilleur fournisseur est donc celui présentant le meilleur rapport qualité/prix. Opter pour un partenaire proposant les prix les plus bas avec des produits de faible qualité ne serait pas convenable pour la viabilité de votre entreprise. En réalité, vous ne fidéliserez pas les clients avec les produits douteux.

De même, choisir un fournisseur proposant des produits de bonne qualité à des prix trop élevés pour vos clients, vous condamnera surement à la faillite. Vous ne réaliserez pas suffisamment de bénéfice pour faire vivre l’entreprise.

Il est de ce fait très important de choisir en fonction du rapport qualité/prix en gardant à l’esprit que le délai de livraison est également un critère non négligeable. Concrètement, si le fournisseur vous propose un bon rapport qualité/prix, mais vous livre dans un délai trop long, vous aurez des difficultés avec les clients. Il faudra donc trouver un partenaire proposant le juste milieu.

L’un des critères pouvant altérer le rapport qualité/prix est le nombre d’intermédiaires entre votre fournisseur et vous. Moins il y en aura, moins vous aurez à payer de commissions et moins élevé sera le prix de revient des marchandises.

Qu’est qu’un CFD ?

Encore méconnus par certains traders, les CFD offrent la possibilité de spéculer en ligne sur les marchés financiers. Si vous débutez en trading et ne savez pas par où commencer, le CFD est peut-être ce qu’il vous faut.

Comment trader les CFD ?

L’acronyme CFD signifie « Contract For Differences » en anglais. Il est littéralement traduit en français par « Contrat pour la Différence ». Il s’agit d’un produit dérivé qui permet de facilement spéculer sur les indices boursiers, les actions, les matières premières et les devises. Le gain ou la perte du trader des CFD est obtenu par la différence entre le cours d’entrée et le cours de fermeture de sa position. Le trading CFD est accessible à toute personne qui a plus de dix ans et aucun diplôme spécifique n’est requis pour se lancer.

Pour investir dans les CFD, il vous faudra ouvrir un compte de trading auprès d’un courtier CFD et télécharger sa plateforme de trading. Vous aurez ensuite à choisir l’actif dont vous désirez trader la hausse ou la baisse du prix, selon vos analyses. Pour illustration : si le cours actuel d’un baril de pétrole est de 1 200 dollars et que vous pensez que ce dernier connaîtra une hausse, il vous suffit d’ouvrir une position acheteuse. Avec la montée effective du prix du baril de pétrole à 1 230 dollars, par exemple, vous encaissez la différence de prix. Vous faites donc un profit de 30 dollars.

Pourquoi opter pour le trading de CFD ?

Les CFD présentent de nombreux avantages. Ils sont, par exemple, accessibles à tous les types de traders et ce, à des frais abordables. Ils proposent ensuite des leviers très importants ; ce qui vous permet de spéculer avec un montant supérieur à votre capital. En tant que trader des CFD, vous avez la possibilité de « shorter » sur un actif (vous pouvez vendre un CFD que vous n’avez pas pour le racheter plus tard à un prix inférieur). De plus, vous pouvez profiter d’une gestion beaucoup plus fine, en ce sens que vous avez la possibilité d’investir sur le CAC 40 à seulement 1 ou 2 euros le point.

De même, vous pouvez trader sur tous les marchés financiers avec un seul compte CFD : indices, actions, monnaies, matières premières, etc. Vous bénéficiez également d’une grande souplesse avec des SL (stop loss) et TP (take profit) pour clôturer vos positions au bon moment. En dehors de tout ceci, les cotations CFD sont disponibles quasiment 24 heures/24 sur la majorité des instruments. Par ailleurs, les CFD présentent un avantage généralement inconnu. En effet, durant les périodes d’extrême volatilité ou de cracks, les autorités boursières interdisent la vente à découvert des actions sur des valeurs données. En revanche, ces mesures ne touchent pas les CFD.

Quels sont les risques du trading CFD ?

Le principal risque du trading CFD est lié à l’effet de levier trop important. En effet, il demeure un couteau à double tranchant, car avantageuse lorsque vous gagnez, mais également défavorable lorsque vous perdez. Par ailleurs, il faut aussi souligner qu’un manque de formation en bonne et due forme au trading pénalise très souvent le trader sur les marchés CFD.

 

PME : 5 erreurs de comptabilité à éviter absolument

Peu de chefs d’entreprise ont un goût avéré pour la comptabilité et pourtant elle garantit la viabilité de l’entreprise en leur donnant une vision claire de sa santé financière. Voici donc les erreurs ou les omissions les plus courantes à éviter.

  1. Confondre le chiffre d’affaires et le bénéfice

Cette erreur est le plus souvent commise chez les travailleurs autonomes parce qu’ils omettent d’ouvrir un compte bancaire professionnel et de demander une carte bancaire corporative. Or il est vraiment nécessaire de bien différencier les dépenses. De plus, un compte pro bien géré leur permettrait d’obtenir plus facilement un financement en vue d’un investissement futur.

  1. Ne pas archiver ses reçus

Ne pas rassembler au même endroit les reçus des dépenses relatives à l’activité professionnelle représente à l’arrivée de nombreuses déductions fiscales que l’on ne pourra pas demander à l’impôt. Il faudrait les trier par date, par nature, et les conserver durant toute la durée légale, soit pendant 6 ans.

  1. Ne pas investir dans un logiciel de comptabilité

Certains entrepreneurs pensent qu’un fichier Excel est bien suffisant pour mentionner les entrées et les sorties d’argent. Or les erreurs de saisie ou les omissions sont lourdes de conséquences. Les consigner dans un logiciel adéquat est une des conditions pour avoir une vision précise de l’équilibre financier. D’autant qu’un tel outil est utile pour la facturation, les relances clients, la vérification de la conciliation bancaire, etc. À défaut, pourquoi ne pas déléguer la mise à jour de sa tenue de livre à Montréal ? La saisie sera moins lourde au moment de publier les états financiers.

  1. Générer des factures non conformes à la législation

Les factures doivent comporter des mentions obligatoires :

  • Le nom du fournisseur,
  • La date,
  • Le montant total,
  • Le montant de la taxe applicable,
  • Le numéro d’inscription au fichier TPS et TVQ du fournisseur,
  • Le nom de l’acheteur ou de l’entreprise,
  • Les modalités de paiement,
  • La description du service ou des produits vendus.

Si vous n’êtes pas sûr des vôtres, demandez conseil à un professionnel.

  1. Ne pas définir un budget précis

Définir un budget pour l’année en cours est nécessaire afin de limiter ses dépenses et atteindre les objectifs financiers que l’on s’est fixés. C’est aussi un bon moyen de diminuer ses charges d’exploitation et générer ainsi une meilleure rentabilité donc de plus gros bénéfices au cours de l’exercice comptable.

Entreposage : pourquoi toujours faire un audit ?

L’audit est une évaluation diagnostic, il sert à mesurer et à améliorer les performances de l’entreprise, en l’occurrence ici celles de la chaîne logistique. Il est donc indispensable pour optimiser la stratégie d’entreprise, mais aussi pour maîtriser les coûts. Quelques conseils pour effectuer le vôtre.

Les objectifs de l’audit

La finalité de l’audit est de s’assurer que tous les moyens mis en œuvre réduisent les coûts du transport, du stock et surtout de l’entreposage, tout en optimisant les performances. Au bout de la chaîne, on mesurera donc aussi la satisfaction client (délais de livraison raccourcis par exemple). L’audit part de l’analyse de l’existant par rapport à un référentiel défini de façon à mesurer les écarts, les identifier et proposer des recommandations pour y remédier.

Les méthodes de l’audit

Pour réaliser un audit logistique dans sa propre entreprise, il faut s’appuyer sur des indicateurs de performance. Ils sont d’ordre financier (coûts logistiques), organisationnel (volume de réception, surface de stockage, productivité des salariés), mais aussi en relation avec le marché (délai de livraison au client). Leur analyse mettra en exergue les dysfonctionnements éventuels ou les postes à améliorer. Les résultats permettront de mettre en œuvre un plan d’action.

Les salariés audités ne doivent pas se sentir jugés. Il faut donc clairement énoncer les objectifs pour recueillir l’adhésion de tous. La personne responsable de l’audit s’appliquera à être à l’écoute, elle évitera d’interpréter ou de devancer les réponses, mais s’en tiendra aux faits, elle sera attentive aux comportements de chacun de manière à ne pas gêner ou provoquer un malaise.

Le questionnement lui-même sera construit de manière méthodique de manière à apparaître comme le plus naturel possible. On alternera donc les questions ouvertes, les questions fermées et les reformulations. On l’appelle la méthode de l’entonnoir, une technique utilisée pour la vente. On peut aussi se baser sur le questionnement Quintilien (QQCOQP : qui, quoi, comment, où, quand et pourquoi) sans s’appesantir sur le pourquoi parce qu’il invite le salarié à se justifier.

Les actions à planifier

Une fois tous les freins identifiés, il faut définir un plan d’action. Le secret de la réussite repose sur un climat de confiance. Pour cela, les nouvelles procédures à appliquer seront simples et les rôles de chacun bien définis.

Au niveau de l’entreprise, une des solutions pour optimiser l’entreposage pourra être de réduire les coûts par des étagères métalliques durables.

Communication digitale : quels sont les médias indispensables à inclure ?

À l’ère du numérique, une stratégie de marketing efficace ne peut plus se passer d’une bonne communication digitale. Quel que soit votre secteur d’activité ou la taille de votre entreprise, vous toucherez davantage de cibles en exploitant le potentiel des canaux digitaux. Bien sûr, vous atteindrez de meilleurs résultats en les sélectionnant correctement. Nous vous proposons ici une liste des médias indispensables à inclure dans votre communication digitale :

Le mobile

La plupart des gens possèdent un smartphone. Cet appareil a même détrôné l’ordinateur et la tablette en matière de recherches sur internet, de consultations de courriels et de fréquentation des réseaux sociaux. Si vous souhaitez atteindre vos cibles, vous avez donc intérêt à inclure le mobile dans votre communication digitale.

Cela signifie que votre site, vos contenus, vos publicités et toutes vos communications digitales doivent impérativement être compatibles sur mobile. Dans le cas contraire, vous ne parviendrez pas à augmenter votre trafic et vous serez rapidement dépassé par vos concurrents.

Les réseaux sociaux

Dans la lignée du point précédent, il faut aussi intégrer les réseaux sociaux dans votre stratégie digitale. Ces médias sont idéaux pour diffuser des publicités ciblées, créer une proximité avec vos cibles, engager le public ou encore gagner en visibilité.

Concrètement, vous devez identifier les réseaux les plus pertinents selon vos cibles, définir une stratégie de contenu et alimenter vos profils de manière régulière. Interagissez également avec votre audience et encouragez les partages.

Les vidéos

Ces dernières années, on note également un certain attrait pour les vidéos. Au lieu de lire des contenus écrits, les gens aiment regarder des vidéos sur les sujets qui les intéressent. Ils y trouvent toutes les informations dont ils ont besoin, sans avoir à faire l’effort de les lire eux-mêmes.

Mais avant de se lancer dans la diffusion de vidéos pour votre entreprise, il est important de se former à la réalisation de film. Cela vous permettra d’offrir des contenus de meilleure qualité, plus agréables à regarder et plus susceptibles d’être partagés. Vidéos d’actualités, conseils pratiques ou film corporate, pensez à diffuser vos vidéos sur vos réseaux sociaux !

Conclusion

Il existe de nombreux médias essentiels dans une bonne communication digitale. Pour bien les choisir, tenez compte de vos cibles, de vos objectifs et de votre budget. Et n’hésitez pas à combiner les médias, pour des résultats optimaux.

Impact environnemental : vers une nouvelle économie de marché ?

C’est indéniable : les préoccupations environnementales concernent de plus en plus de foyers et d’entreprises. Par souci écologique, un nombre croissant d’acteurs économiques font en sorte de réduire leur impact environnemental de diverses façons. Réduction des déchets, diminution de la consommation énergétique, recherche d’alternatives plus eco-friendly, baisse de l’empreinte carbone, etc. Les initiatives sont nombreuses et variées. Mais sommes-nous en train de nous diriger vers une nouvelle économie de marché ?

Des bâtiments plus écologiques

Un des secteurs les plus marqués par ce désir de réduire l’impact environnemental est le bâtiment. Qu’il s’agisse de construction ou de rénovation, pour des professionnels, des particuliers ou pour le grand public, la question environnementale est au cœur des problématiques.

On cherche à obtenir des bâtisses toujours plus performantes, qui consomment moins et sont mieux isolées. On veille aussi à utiliser des matériaux plus respectueux de l’environnement et durables dans le temps.

Et pour encourager les initiatives écologiques dans le secteur du bâtiment, de nombreux États, comme le Canada, proposent des aides et des subventions. Si vous voulez construire ou rénover écolo, renseignez-vous ! Et pour financer vos travaux coûteux, vous pouvez aussi opter pour un prêt d’argent rapide.

Au niveau alimentaire

Ensuite, le secteur alimentaire est également fortement impacté par ces considérations écologiques. Cela concerne aussi bien les méthodes de production (agriculture, transformation, transport…) que les ingrédients utilisés (qualité, origine, type…), leur conditionnement et leur distribution.

Par exemple, voici quelques changements majeurs qui se sont opérés ces dernières années et qui devraient s’intensifier :

  • La réduction des emballages, qui passe par exemple par la vente en gros.
  • Une préférence pour les circuits de distribution courts (ex : vente de fruits et légumes en direct par le producteur).
  • Un intérêt grandissant pour le commerce équitable, avec une parfaite traçabilité des produits et un souci pour les conditions de travail dans les pays lointains.
  • Une production durable, qui veille à préserver les ressources de la planète.

De plus, on remarque que le même type de modifications se retrouve aussi dans des domaines annexes, comme les produits d’hygiène, les cosmétiques, etc.

Conclusion

Sans nécessairement parler de nouvelle économie de marché, on note effectivement de nombreux changements liés à l’impact environnemental dans des domaines variés. Cette prise de conscience écologique va certainement continuer à créer de nouvelles initiatives eco-friendly dans les années à venir.